Confrérie Myrtille Forézienne


lundi 6 juin 2022

SANTE > Neurodégénérescence: les myrtilles en prévention

La démence et les maladies neurodégénératives peuvent se développer silencieusement dès la quarantaine et s'accompagnent généralement de perturbations métaboliques comme la résistance à l'insuline. Diverses études ont déjà montré que les myrtilles pouvaient améliorer les performances cognitives et les fonctions cérébrales et pourraient jouer un rôle préventif dans l'apparition de ces maladies, notamment parce que les anthocyanines et proanthocyanidines qu'elles contiennent agissent sur des processus intrinsèque aux processus neurodégénératifs.

Durant un mois et demi, une équipe de chercheurs étasuniens a observé les effets de la consommation quotidienne de l'équivalent d'une demi-tasse de myrtilles (sous forme de poudre) chez 33 hommes et femmes âgés de 50 à 65 ans et présentant un risque élevé de démence future (prédit par l'hyperinsulinémie). Les particpants qui ont consommé des myrtilles ont eu moins de pertes de mémoire, des gestes plus vifs, ont mis moins de temps à trouver leurs mots et ont amélioré leur capacité à traiter les informations en provenance des sens comme la vue, le toucher ou l'odorat. Au passage leur glycémie a été mieux régulée.

~ Sabrina Debusquat

Blueberry Supplementation in Midlife for Dementia Risk Reduction

vendredi 11 mai 2018

TERRE DE CONFRÉRIES > Protéger le petit or noir du Haut-Forez (@auvergnerhalpes - @MyrtilleForez )

En tarte, en confiture, en jus ou simplement du bout des doigts, la myrtille sauvage est un vrai délice. Mais victime de son suc­cès, elle se fait rare dans les montagnes du Haut­ Forez. La Confrérie de la myrtille forézienne, créée en 2002, s’est donnée pour mission de protéger ce pe­ tit fruit noir à la douce sa­veur.

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L'article complet de "La Gazette de Thiers et d'Ambert" du JEUDI 3 MAI 2018 au format PDF


LA GAZETTE DE THIERS ET D'AMBERT·VENDREDI 11 MAI 2018

vendredi 23 septembre 2016

A VOS AGENDAS

- Le 20 janvier 2018 : Assemblée Générale Ordinaire au siège social

lundi 13 juillet 2015

Le ruisseau de Gérise

Un trésor patrimonial oublié :

« Le ruisseau de Gérise ( ou Gérize ), sur les Hautes-Chaumes du Forez »

Né dans la tourbière de Pater, à 1.300 m d’altitude, sur les Hautes-Chaumes du Forez, le ruisseau de Gérise se jette dans la rivière Dore, quinze kilomètres plus bas, à 430 m d’altitude près de la ville d’Olliergues.

Bien petit, à sa naissance, à peine trente centimètres de large, ce petit ru, méconnu, presque oublié, est une richesse patrimoniale de ce territoire.

Il a fait l’objet, en 1868, d’un document de cinquante quatre pages : « Extrait des Minutes du Greffe du Tribunal d’Ambert : Partage et Règlement des Eaux, Sources et Affluents du Ruisseau de Gérise. Le Tribunal d’Ambert a mandaté trois experts - géomètres, les sieurs AMOUROUX, PELISSON et MONTHEILLET, afin d’établir un règlement du partage des eaux de Gérise.

Ceci, suite à de nombreux différends survenus depuis la Révolution entre deux groupes de propriétaires utilisateurs :

  • « ceux d’en-haut » : les agriculteurs
  • « ceux d’en-bas » ( 800 m plus bas ) : trois usines à faire des planches ( des scieries ).

Les agriculteurs avaient besoin de toute l’eau pour irriguer leurs prairies d’estives, abreuver les animaux, fabriquer les fromages ( les fourmes ) dans les caves.

Les scieries avaient besoin de toute l’eau pour faire tourner les scies le plus longtemps possible chaque jour.

D’où les détournements d’eau des rases d’irrigation, les différends, les procès.

Les experts-géomètres ont d’abord recherché les origines de propriété de chacun.

Ils nous apprennent que le 19 Vendémiaire an X (11 octobre 1801), il y eut vente par Jacques-Léopold-Charles-Godefroy de La Tour d'Auvergne, Seigneur d’Olliergues, à quatre agriculteurs ( RIGAUD, FAFOURNOUX, CHEBANCE et TARRIT dont certains de leurs descendants sont encore présents périodiquement, aujourd’hui, sur ce petit territoire ) d’un « canton » de bois, appelé Revers, de la contenance de 30 stérées ( ou septérées ) = 18 ha 24 ares, sur la Haute-Montagne seigneuriale d’Olliergues.

Les experts-géomètres ont accompli un travail considérable et minutieux. Ils ont mesuré le débit de chacune d’une quarantaine de sources qui ajoutent leurs eaux à celle du ruisseau de Gérise, ce qui représentait un volume journalier d’environ 1.500 m3 ( l’équivalent aujourd’hui d’un convoi de 50 camions-citernes de 30 m3 ).

Ils ont dressé le plan ci-dessous :


Pour voir ce plan en plein écran et zoomer, cliquez dessus

Chacune des sources est répertoriée par un chiffre, de même, chaque parcelle, chacune des dix jasseries en activité. ( aujourd’hui deux ont été récemment réhabilitées, mais quatre sont encore des ruines ). Les rases principales, béals, et certains ouvrages, comme les puisards sont répertoriés par des lettres majuscules. Chaque chiffre et chaque lettre trouvent une signification tout au long des cinquante quatre pages ( toutes sauf une : la lettre K ? ).

Ils ont déterminé les besoins en eau de chaque parcelle de terrain, de chaque jasserie en fonction du nombre de têtes de bétail, et ont accompli le même travail méticuleux pour les scieries : besoins en eau des réserves, en amont des scies, en rapport avec la hauteur de la chute d’eau et les caractéristiques de chaque scie.

La conclusion de leur travail accompli fut que cette importante ressource ne suffisait pas pour satisfaire les besoins des uns et des autres.

Ils proposèrent donc que :

  • l’agriculture utilise toutes les eaux débitées, du 25 Mars au 15 Octobre de chaque année
  • du 16 Octobre au 24 mars, ces mêmes eaux profitent exclusivement aux usines.

Le Tribunal d’Ambert entérina cette proposition.

Aujourd’hui, 150 ans après, avec l’évolution industrielle et agricole, il n’y a plus de scieries ni de jasseries en activité pastorale.

Petit à petit, la nature a repris ses droits : maquis de sorbiers, d’alisiers, broussailles, fougères, callune. Gérise est toujours là. Une dizaine de sources seulement sont visibles. Les eaux de toutes les autres, enherbées, obstruées s’écoulent en souterrain jusqu’à Gérise.

Depuis une quinzaine d’années, en partie haute, sur quelques centaines de mètres, deux passionnés ont entrepris de réhabiliter le petit vallon de Gérise. Ils ont été encore plus motivés, après la découverte dans des archives familiales d'un document intitulé : « Partage et Règlement des Eaux, Sources et Affluents du Ruisseau de Gérise ».

Grâce au plan et aux explications dans le texte, ils entreprirent de débroussailler, creuser, pour retrouver des rases, des béals, des sources.

La première source dégagée est voisine de celle nommée par les Géomètres « Source du Faux Fourchu ». Le faux ( ou fayard ) c’est le hêtre. L’Histoire nous apprend qu’il y a 2000 ans, à l’époque romaine, les Hautes Chaumes étaient couvertes de forêts de hêtres. Tout au long des siècles qui ont suivi, les agriculteurs, en surpopulation dans la vallée de la Dore, ont abattu les forêts de hêtres pour les remplacer par des prairies. Le Faux Fourchu est vraisemblablement le dernier hêtre à cet endroit. Mort sur pied, ses branches étaient devenues squelettiques, d’où le qualificatif « fourchu ». De génération en génération, ce nom « Faux Fourchu » s’est transmis jusqu’à l’époque où les experts-géomètres recensèrent la Source du Faux Fourchu ( n° 13 ) avec un débit moyen de 48 m3/j.

Plus bas, un éboulis de pierres entre une rase et Gérise ( repéré 15 sur le plan ). Un barrage de déviation permettant la restitution de l’eau au cours d’eau principal, un des nombreux endroits qui ont été objets de litiges et de procès.

Plus bas encore, deux sources appelées par les Géomètres « Sources du Grand Creux » ( n° 16 ) étaient situées sur leur plan de chaque côté de la limite de propriété qui est toujours valable aujourd’hui. Celle située sur la propriété fut dégagée de la friche et recreusée après nombreux coups de pioches et de pelles : elle coule à nouveau.

Sur la rive droite de Gérise, en amont, une énigme :

  • 1er élément : une plateforme recouverte de mousse ( la sphaigne ) : une tourbière anthropique ?
  • au-dessus une excavation d’une soixantaine de m² avec sur les bords de grosses pierres : une ancienne loge, ancêtre d’une jasserie ?
  • plus haut, sur l’ancienne rase asséchée de la source 16 : le point K ( K est la seule lettre qui n’a fait l’objet d’aucune définition dans le texte du règlement. Pourquoi ? )



La réponse est peut-être dans la solution de l’énigme que proposent les « deux passionnés » :

  • l'eau de la fontaîne 12 était en partie dérivée au point K pour alimenter une loge en dessous ( réserve d'eau, cave à fromages, étable ) puis s'écoulait en direction de Gérise, comme dessiné sur le plan.
  • Quand cette loge a-t-elle été inoccupée ? quand a-t-elle disparu ? : " en des temps reculés " selon l'expression des experts-géomètres qui ajoutent dans leur rapport : " c'est ce que cache le voile des temps "
  • L' eau de la fontaine 12 continue de couler ... elle n'est plus " domestiquée ", elle s'infiltre, elle stagne et au cours des années, des siècles, crée en aval une tourbière anthropique, due non pas à la présence de l'homme, mais à son absence !

Les grosses pierres, ont peut-être servi à la construction des murs de la loge ? Ces pierres ont peut-être ensuite été utilisées, en partie, pour construire le mur de séparation en bas de la parcelle. Elles ont peut être aussi été récupérées pour entrer dans la construction postérieure de la jasserie de Jean-Baptiste SOLLELIS ( actuel Chabanou en 9bis ), alors propriétaire des deux parcelles. Au 19ème siècle, au moment où travaillent les géomètres, il n'y a plus de loge ... aucun procès à son sujet, ni au sujet de la fontaine 12 et de sa rase : seulement les restes d'une sorte d'ancien puisard, qu'ils ont repéré par la lettre K sans autre explication !

D’autres sources sont à redécouvrir, d’autres curiosités sont énigmatiques.

Les eaux de Gérise, sur les Hautes-Chaumes du Forez … un patrimoine et des richesses naturelles à protéger et à promouvoir en ce début du 21ème siècle.

Alain DENIS

Pour découvrir la légende du Gérise :

Légendes

Pour découvrir la légende du Gérise :

Pour découvrir la légende " Dure Dure ! LA PIERRE " :

Pour découvrir la légende du Vimont :

La légende de l'Arbre du Diable du Bois de Pamole :


( Crédit : Solange DUBIEN )

Plan d'accès :

En des temps très anciens, le Diable voulut, depuis AUGUSTO NEMETUM, se rendre dans la capitale des Gaules à LUGDUNUM. Pour ce faire il enfourcha son grand pur sang noir et après un premier bond sur le Grun de Chignore, le second le conduisit au Bois de Pamole.

Lorsque Satan s'aperçut que son prochain bond le conduirait sur les lieux des sources sacrées de ce qui allait devenir bien plus tard le monastère de Notre-Dame de l'Hermitage, le cheval se cabra et, dans un grondement effroyable qui fit trembler la région, cheval et cavalier disparurent dans les entrailles de la terre.

Sur cette terre brûlée pendant de long siècles, aucune végétation n'osa s'installer jusqu'à ce jour de grand vent ou un corbeau, déstabilisé par les éléments, laissa s'échapper la graine de sapin qu'il tenait dans son bec.

Trop heureuse de pouvoir échapper à son prédateur, celle-ci n'eut de cesse que de s'enraciner rapidement, sans avoir conscience de l'offense faite aux esprits de Satan.

C'est pourquoi, soumis aux esprits maléfiques l'arbre a vécu et grandi dans la souffrance et le tourment.

Braves gens qui passez par là, compatissez sur le sort de cet arbre, innocente victime de Lucifer

mercredi 8 juillet 2015

Confrérie des Compagnons du Tire-Bouchon ( suite )


Cliquer sur l'image



Le défilé des confréries, accompagné par la tonitruante Banda de Chabreloche :







La photo de famille :



120 participants se sont ensuite retrouvés à la salle polyvalente pour le pot de l'amitié et un délicieux repas dont le plat de résistance était une succulente paella :-)

Un grand merci à Didier pour ce mémorable anniversaire : ce fut un grand moment de bonheur d'être ensemble dans une ambiance aussi chaleureuse :-)

Pour voir l'album photo de Frédéric :

dimanche 17 mai 2015

L'eau vive

Quelques photos du ruisseau de Gérise, qui prend sa source dans la tourbière de Pater (sur la parcelle " Les Patères ", située en haut à droite de la photo aérienne GOOGLE Maps ), à quelques centaines de mètres de la Jasserie Jean-Marie (répertoriée 10bis sur le plan ci-dessous) :


Pour en savoir plus, cliquez sur le plan ci-dessus







( © : Alain DENIS )

à regarder en écoutant :

Le « Peyre Mayou »


Cet excellent apéritif est obtenu en associant un savoureux sirop de myrtilles des Monts du Forez ( environ 15 % selon les goûts ) avec un Côtes du Forez ( Rouge, rosé ou blanc ).

Avec un vin champagnisé l'on dégustera un « Peyre Mayou Impérial »

A déguster en chantant :

Le nom de cet apéritif ( en français : « Pierre Majeure » ) vient du nom du sommet rocheux situé à 1.542 m d’altitude entre le Col du Béal ( 1.390 m ) et Pierre-sur-Haute (1.634 m), point culminant des Monts du Forez, à la limite des départements de la Loire et du Puy-de-Dôme.

  • Vue depuis le Nord-Ouest, au-dessus de la Jasserie Jean-Marie ( sur la gauche de la photo ) :


( © : Alain DENIS )

  • Vue depuis le Col du Béal, avec en premier plan une statue de la vierge Marie ( socle et niche bâtis par notre confrère Romain VEILLON, sur sa propriété ) :


( © : Alain DENIS )

  • Vue depuis la route menant à Pierre-sur-Haute :



( © : Michel MENSE )

Les myrtilles bonnes contre l'hypertension ...

Décidément, les myrtilles sont nos meilleures alliées. En plus d'être efficaces contre la prise de poids, en consommer 22 grammes par jour suffirait à réduire les risques d'hypertension chez les femmes ménopausées :-)

et aussi contre l'obésité :

Les deux versants des Monts du Forez

La ligne de crête des Monts du Forez est non seulement une limite territoriale de plus de 2.000 ans ( ! ), puisqu'elle fut successivement la frontière entre :

mais elle est aussi une frontière linguistique entre le Francoprovençal (ou Arpitan) et la Langue d'oc (ou Occitan)

Boire un « Peyre Mayou » c'est agréable

à chanter en dégustant un « Peyre Mayou » sur l'air de :



Boire un Peyre Mayou c'est agréable
Boire un Peyre Mayou c'est doux
Car il ne fait pas rouler dessous la table
Boire un Peyre Mayou c'est agréable
Boire un Peyre Mayou c'est doux

Quand je suis sur les Monts du Forez
Quand je suis sur nos beaux Monts
Avec mon Airelle que je m’y sens à l’aise
Quand je suis sur les Monts du Forez
Quand je suis sur nos beaux Monts

Boire un Peyre Mayou c'est agréable
Boire un Peyre Mayou c'est doux
Car il ne fait pas rouler dessous la table
Boire un Peyre Mayou c'est agréable
Boire un Peyre Mayou c'est doux

J'aime Madelon, la jolie fille
J’aime Madelon c’est bon
Mais j’aime encore mieux le jus de la myrtille
J’aime Madelon, la jolie fille
J’aime Madelon, c'est bon

Boire un Peyre Mayou c'est agréable
Boire un Peyre Mayou c'est doux
Car il ne fait pas rouler dessous la table
Boire un Peyre Mayou c'est agréable
Boire un Peyre Mayou c'est doux

Allons dans les bois, belle Isabelle
Allons dans les bois, chez toi
Nous y cueillerons notre jolie airelle
Allons dans les bois, belle Isabelle
Allons dans les bois, chez toi

Boire un Peyre Mayou c'est agréable
Boire un Peyre Mayou c'est doux
Car il ne fait pas rouler dessous la table
Boire un Peyre Mayou c'est agréable
Boire un Peyre Mayou c'est doux

Les paroles sont de notre Grand Maître. :-)

Les vertus de la Myrtille

PRINCIPAUX COMPOSANTS de la MYRTILLE :

  • VITAMINES : A - C – P
  • MINERAUX : Fer, Manganèse, Cuivre
  • ACIDES ORGANIQUES : citrique, malique, tartrique, benzoïque,
  • TANINS, GLUCOCIDES
  • Matières colorantes aux actions spécifiques : MYRTILLINE, ANTHOCYANES,

LES ACTIONS DU FRUIT :

  • SUR LA VUE :

L’action de la MYRTILLE sur la vue est connue de longue date par la médecine. Plus récemment, l’action des anthocyanosides sur la vue a été reconnue. Par ailleurs la vitamine A, composante du pourpre rétinien est connue pour améliorer la vision de nuit.


  • SUR LA CIRCULATION SANGUINE :

Par ses anthocyanosides, la MYRTILLE a une action importante sur la protection des parois vasculaires ( varices, séquelles de phlébite, … ) et sur l'hypertension

  • SUR LE DIABETE :

Hypoglycémiante, la MYRTILLE fait baisser le taux de sucre dans le sang.

  • SUR l’APPAREIL DIGESTIF et les VOIES URINAIRES :

Due principalement à la présence de tanins spéciaux, l’action de la MYRTILLE sur toutes les formes de diarrhées, même infantiles, entérites, dysenterie, putréfactions intestinales, colibacillose, est étonnante et rapide. Régénératrice de la flore intestinale, son action sur la constipation peut se révéler tout aussi efficace. Diurétique, elle est aussi un désinfectant des voies urinaires. Elle est aussi efficace dans les cas d’infection intestinale.

Ces renseignements ont été communiqués par le Syndicat des Producteurs de Myrtilles et de petits fruits du Livradois-Forez.

Jean FERRAT

Ses plus belles chansons :
























Rencontre des Confréries Québecoises et Auvergnates ( suite )












samedi 16 mai 2015

3ème Fête du Four à Pain ( suite )

Le Four à Pain :



Le stand de la Confrérie des Talmeliers du Bon Pain :



Miam miam :-)

Un extrait du défilé mode " Boutique SOLALUNA ":


et des modèles " Coiffures " :



Créations de " Anaïs Coiffure ( DEFI' Coiff ) "



Créations de " Valérie Coiffure "


Et pour terminer une petite balade en calèche :




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